Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Tharlo (FICA 2016)
pema Tseden
« On pouvait craindre le pire de l'exotisme tibétain engagé, on se trouve devant un film d'une force expressive fascinante, dans la lignée de Zhang Miaoyan, l'accessibilité en plus. »
Terror Live (en vidéo le 30/09/2015)
Kim Byung-woo
« Un huis-clos parfaitement maîtrisé, une tension incroyable. Bref, que du bon ! »
Terra Formars (Étrange Festival 2016)
Miike Takashi
« Le manga est une merde et Takashi Miike vous emmerde (le spectateur, lui s'emmerde). »
Tenzo (en salles le 27/11/2019)
Tomita Katsuya
« Une très belle lecture, à travers le bouddhisme, sur le Japon, la décadence du monde et une nécessaire reconstruction. »
« Un joli effet de style pour un documentaire qui photographie le Japon et la foi à l'orée des années 2020. »
Ten Months (FFCP 2021)
Namkoog Sun
« Un premier long métrage sensible pour un sujet traité avec une ironie rafraîchissante malgré quelques maladresses. »
Tempura (en salles le 20/07/2022)
Ohku Akiko
« C'est mignon, c'est pertinent, mais ça met beaucoup trop de temps à raconter quelque chose d'assez simple et clair. »
« Une comédie qui commence comme un feelgood movie et qui vire au touchant et délicat portrait d’une victime de la Solitude tokyoïte. L’ensemble est un peu déséquilibré par instant mais reste une très belle surprise estivale. »
« Derrière la romance, le film explore bien loin la psyché de son personnage, son malaise en société qui résonne. Entre rires et larmes, une belle réussite ! »
Tel père, tel fils (en vidéo le 30/04/2014)
Kore-eda Hirokazu
« Un subtil mélange d'humour, de drame et d'émotion, dosé à la perfection. »
« Loin (mais pas tant que ça) de ses chefs d’œuvres, Kore-eda signe une œuvre solide et d'une touchante sincérité. »
Tamako In Moratoriumn (Kinotayo 2014)
Yamashita Nobuhiro
« Trop de kawai tue le kawai. »
Talking the Pictures (Kinotayo 2019)
Suo Masayuki
« Une évocation instructive, amusante et romanesque des benshi, narrateur du cinéma muet au Japon. Dommage que le final un peu confus gâche le plaisir et la maîtrise qui précède. »
« Un hommage au benshi qui cède à la platitude. »
Taklum (Cannes 2015)
Brillante Mendoza
« Une première scène incroyable, avant que la force du film ne s’éparpille un peu dans une narration fragmentée. »
Taklub (en salles le 30/03/2016)
Brillante Mendoza
« Une première scène incroyable, avant que la force du film ne s’éparpille un peu dans une narration fragmentée. »
Tag (L'Étrange Festival 2015)
Sono Sion
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Tag (Kinotayo 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Tag (Black Movie 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Swing Kids (FFCP 2019)
Kang Hyoung-chul
« Kang Yeong-cheol réussit un film à la fois énergisant et d'une grande ampleur tragique. Le divertissement populaire et musical à son meilleur. »
« Des scènes de danse éblouissantes, des acteurs qui filent la patate, une musique entraînante. Reste une seconde partie un peu moins réussie qui mélange les genres difficilement. »
SUZUME (en salles le 12/04/2023)
Shinkai Makoto
« Meilleure chaise de l'histoire du cinéma. »
« L'animation est superbe (que ce soit les décors, la gestique des personnages, les teintes, etc.). Mais si l'imaginaire fantastique fascine, le tout souffre d'un gros problème de répétition et de scène de transition d'une banalité qui détonne. »
« Un récit flamboyant et spectaculaire mais qui parfois peine à se montrer aussi émouvant et tendre que les précédents films de Shinkai, et qui fait le choix d’aller à fond dans le fantastique pur et dur. »
« Shinkai trouve enfin le parfait équilibre entre ses aspirations personnelles et le goût de son public, tout en traitant de face les thématiques autour desquelles il tournait de manière discutable depuis your name. Une sorte d'aboutissement personnelle et esthétique qui annonce peut-être une filmographie à la hauteur du talent qu'on lui prête. »
Sunset in My Hometown (FFCP 2018)
Lee Joon-ik
« On a perdu Lee Joon-ik... »
« Lee Joon-ik filme une émission qui s'appelle "Show Me The Money" : c'est ce qu'il a dû dire à la production en acceptant ce projet... »
Sunrise (L'Étrange Festival 2015)
Partho Sen-Gupta
Sunhi (en salles le 09/07/2014)
Hong Sang-soo
« Trop de répétition tue la répétition. »
« Hong Sang-soo creuse, creuse ses thématiques de manière toujours aussi plaisante et inventive, mais cette Sunhi arrive après Haewon et apparaît comme un peu mineur face à ce sommet. »
Suneung (en salles le 09/04/2014)
Shin Su-won
« Un tableau du système éducatif coréen effrayant mais très maladroit. »
« Terrifiant et brillant portrait du système éducatif coréen réalisé par une ex-enseignante, Suneung dépasse le simple film à charge par ses envolées cosmiques et son regard de travers vers le film de genre. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Tharlo (FICA 2016)
pema Tseden
« On pouvait craindre le pire de l'exotisme tibétain engagé, on se trouve devant un film d'une force expressive fascinante, dans la lignée de Zhang Miaoyan, l'accessibilité en plus. »
Terror Live (en vidéo le 30/09/2015)
Kim Byung-woo
« Un huis-clos parfaitement maîtrisé, une tension incroyable. Bref, que du bon ! »
Terra Formars (Étrange Festival 2016)
Miike Takashi
« Le manga est une merde et Takashi Miike vous emmerde (le spectateur, lui s'emmerde). »
Tenzo (en salles le 27/11/2019)
Tomita Katsuya
« Une très belle lecture, à travers le bouddhisme, sur le Japon, la décadence du monde et une nécessaire reconstruction. »
« Un joli effet de style pour un documentaire qui photographie le Japon et la foi à l'orée des années 2020. »
Ten Months (FFCP 2021)
Namkoog Sun
« Un premier long métrage sensible pour un sujet traité avec une ironie rafraîchissante malgré quelques maladresses. »
Tempura (en salles le 20/07/2022)
Ohku Akiko
« C'est mignon, c'est pertinent, mais ça met beaucoup trop de temps à raconter quelque chose d'assez simple et clair. »
« Une comédie qui commence comme un feelgood movie et qui vire au touchant et délicat portrait d’une victime de la Solitude tokyoïte. L’ensemble est un peu déséquilibré par instant mais reste une très belle surprise estivale. »
« Derrière la romance, le film explore bien loin la psyché de son personnage, son malaise en société qui résonne. Entre rires et larmes, une belle réussite ! »
Tel père, tel fils (en vidéo le 30/04/2014)
Kore-eda Hirokazu
« Un subtil mélange d'humour, de drame et d'émotion, dosé à la perfection. »
« Loin (mais pas tant que ça) de ses chefs d’œuvres, Kore-eda signe une œuvre solide et d'une touchante sincérité. »
Tamako In Moratoriumn (Kinotayo 2014)
Yamashita Nobuhiro
« Trop de kawai tue le kawai. »
Talking the Pictures (Kinotayo 2019)
Suo Masayuki
« Une évocation instructive, amusante et romanesque des benshi, narrateur du cinéma muet au Japon. Dommage que le final un peu confus gâche le plaisir et la maîtrise qui précède. »
« Un hommage au benshi qui cède à la platitude. »
Taklum (Cannes 2015)
Brillante Mendoza
« Une première scène incroyable, avant que la force du film ne s’éparpille un peu dans une narration fragmentée. »
Taklub (en salles le 30/03/2016)
Brillante Mendoza
« Une première scène incroyable, avant que la force du film ne s’éparpille un peu dans une narration fragmentée. »
Tag (L'Étrange Festival 2015)
Sono Sion
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Tag (Kinotayo 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Tag (Black Movie 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Swing Kids (FFCP 2019)
Kang Hyoung-chul
« Kang Yeong-cheol réussit un film à la fois énergisant et d'une grande ampleur tragique. Le divertissement populaire et musical à son meilleur. »
« Des scènes de danse éblouissantes, des acteurs qui filent la patate, une musique entraînante. Reste une seconde partie un peu moins réussie qui mélange les genres difficilement. »
SUZUME (en salles le 12/04/2023)
Shinkai Makoto
« Meilleure chaise de l'histoire du cinéma. »
« L'animation est superbe (que ce soit les décors, la gestique des personnages, les teintes, etc.). Mais si l'imaginaire fantastique fascine, le tout souffre d'un gros problème de répétition et de scène de transition d'une banalité qui détonne. »
« Un récit flamboyant et spectaculaire mais qui parfois peine à se montrer aussi émouvant et tendre que les précédents films de Shinkai, et qui fait le choix d’aller à fond dans le fantastique pur et dur. »
« Shinkai trouve enfin le parfait équilibre entre ses aspirations personnelles et le goût de son public, tout en traitant de face les thématiques autour desquelles il tournait de manière discutable depuis your name. Une sorte d'aboutissement personnelle et esthétique qui annonce peut-être une filmographie à la hauteur du talent qu'on lui prête. »
Sunset in My Hometown (FFCP 2018)
Lee Joon-ik
« On a perdu Lee Joon-ik... »
« Lee Joon-ik filme une émission qui s'appelle "Show Me The Money" : c'est ce qu'il a dû dire à la production en acceptant ce projet... »
Sunrise (L'Étrange Festival 2015)
Partho Sen-Gupta
Sunhi (en salles le 09/07/2014)
Hong Sang-soo
« Trop de répétition tue la répétition. »
« Hong Sang-soo creuse, creuse ses thématiques de manière toujours aussi plaisante et inventive, mais cette Sunhi arrive après Haewon et apparaît comme un peu mineur face à ce sommet. »
Suneung (en salles le 09/04/2014)
Shin Su-won
« Un tableau du système éducatif coréen effrayant mais très maladroit. »
« Terrifiant et brillant portrait du système éducatif coréen réalisé par une ex-enseignante, Suneung dépasse le simple film à charge par ses envolées cosmiques et son regard de travers vers le film de genre. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Tableau des Etoiles

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Tharlo (FICA 2016)
pema Tseden
« On pouvait craindre le pire de l'exotisme tibétain engagé, on se trouve devant un film d'une force expressive fascinante, dans la lignée de Zhang Miaoyan, l'accessibilité en plus. »
Terror Live (en vidéo le 30/09/2015)
Kim Byung-woo
« Un huis-clos parfaitement maîtrisé, une tension incroyable. Bref, que du bon ! »
Terra Formars (Étrange Festival 2016)
Miike Takashi
« Le manga est une merde et Takashi Miike vous emmerde (le spectateur, lui s'emmerde). »
Tenzo (en salles le 27/11/2019)
Tomita Katsuya
« Une très belle lecture, à travers le bouddhisme, sur le Japon, la décadence du monde et une nécessaire reconstruction. »
« Un joli effet de style pour un documentaire qui photographie le Japon et la foi à l'orée des années 2020. »
Ten Months (FFCP 2021)
Namkoog Sun
« Un premier long métrage sensible pour un sujet traité avec une ironie rafraîchissante malgré quelques maladresses. »
Tempura (en salles le 20/07/2022)
Ohku Akiko
« C'est mignon, c'est pertinent, mais ça met beaucoup trop de temps à raconter quelque chose d'assez simple et clair. »
« Une comédie qui commence comme un feelgood movie et qui vire au touchant et délicat portrait d’une victime de la Solitude tokyoïte. L’ensemble est un peu déséquilibré par instant mais reste une très belle surprise estivale. »
« Derrière la romance, le film explore bien loin la psyché de son personnage, son malaise en société qui résonne. Entre rires et larmes, une belle réussite ! »
Tel père, tel fils (en vidéo le 30/04/2014)
Kore-eda Hirokazu
« Un subtil mélange d'humour, de drame et d'émotion, dosé à la perfection. »
« Loin (mais pas tant que ça) de ses chefs d’œuvres, Kore-eda signe une œuvre solide et d'une touchante sincérité. »
Tamako In Moratoriumn (Kinotayo 2014)
Yamashita Nobuhiro
« Trop de kawai tue le kawai. »
Talking the Pictures (Kinotayo 2019)
Suo Masayuki
« Une évocation instructive, amusante et romanesque des benshi, narrateur du cinéma muet au Japon. Dommage que le final un peu confus gâche le plaisir et la maîtrise qui précède. »
« Un hommage au benshi qui cède à la platitude. »
Taklum (Cannes 2015)
Brillante Mendoza
« Une première scène incroyable, avant que la force du film ne s’éparpille un peu dans une narration fragmentée. »
Taklub (en salles le 30/03/2016)
Brillante Mendoza
« Une première scène incroyable, avant que la force du film ne s’éparpille un peu dans une narration fragmentée. »
Tag (L'Étrange Festival 2015)
Sono Sion
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Tag (Kinotayo 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Tag (Black Movie 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
Swing Kids (FFCP 2019)
Kang Hyoung-chul
« Kang Yeong-cheol réussit un film à la fois énergisant et d'une grande ampleur tragique. Le divertissement populaire et musical à son meilleur. »
« Des scènes de danse éblouissantes, des acteurs qui filent la patate, une musique entraînante. Reste une seconde partie un peu moins réussie qui mélange les genres difficilement. »
SUZUME (en salles le 12/04/2023)
Shinkai Makoto
« Meilleure chaise de l'histoire du cinéma. »
« L'animation est superbe (que ce soit les décors, la gestique des personnages, les teintes, etc.). Mais si l'imaginaire fantastique fascine, le tout souffre d'un gros problème de répétition et de scène de transition d'une banalité qui détonne. »
« Un récit flamboyant et spectaculaire mais qui parfois peine à se montrer aussi émouvant et tendre que les précédents films de Shinkai, et qui fait le choix d’aller à fond dans le fantastique pur et dur. »
« Shinkai trouve enfin le parfait équilibre entre ses aspirations personnelles et le goût de son public, tout en traitant de face les thématiques autour desquelles il tournait de manière discutable depuis your name. Une sorte d'aboutissement personnelle et esthétique qui annonce peut-être une filmographie à la hauteur du talent qu'on lui prête. »
Sunset in My Hometown (FFCP 2018)
Lee Joon-ik
« On a perdu Lee Joon-ik... »
« Lee Joon-ik filme une émission qui s'appelle "Show Me The Money" : c'est ce qu'il a dû dire à la production en acceptant ce projet... »
Sunrise (L'Étrange Festival 2015)
Partho Sen-Gupta
Sunhi (en salles le 09/07/2014)
Hong Sang-soo
« Trop de répétition tue la répétition. »
« Hong Sang-soo creuse, creuse ses thématiques de manière toujours aussi plaisante et inventive, mais cette Sunhi arrive après Haewon et apparaît comme un peu mineur face à ce sommet. »
Suneung (en salles le 09/04/2014)
Shin Su-won
« Un tableau du système éducatif coréen effrayant mais très maladroit. »
« Terrifiant et brillant portrait du système éducatif coréen réalisé par une ex-enseignante, Suneung dépasse le simple film à charge par ses envolées cosmiques et son regard de travers vers le film de genre. »
  • : pas de note
  • : mauvais
  • : moyen
  • : bon
  • : très bon
  • : excellent
  • : chef-d'Oeuvre

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